A Kairouan, il y a une centaine de vachers et presque autant d’abattoirs clandestins à domicile ou ailleurs. Ainsi, 50% de l’abattage des animaux sont illégaux. En général, on a recours à l’abattage clandestin pour échapper aux taxes municipales, ainsi qu’à la saisie des vétérinaires (en cas de maladie de l’animal, de son âge ou de son poids, non conforme …